Atterrissage vers 13:15 dans la capitale colombienne. Encore plus d'une heure d'attente pour passer l'immigration. Puis taxi jusqu'à ma chambre d'hôte que j'avais reservé pour 3 nuits sur airbnb (9 euros la nuit). Bien sûr, en bon touriste, je me fais avoir sur le prix de la course (j'ai pourtant fais gaffe de prendre un taxi "officiel et autorisé")
J'arrive à l'appart, mon hôte n'est pas là, il m'a laissé une clé chez le concierge. Résidence ultra securisée et moderne.
Dans l'appart il y a 3 chambres. Une seule est déjà reservée.
Je pose mes affaires et saute dans la douche bien meritée après un long voyage de près de 40 heures ! Il est 15h30, malgré la fatigue je décide d'aller visiter le centre historique, La Candelaria.
Je n'ai pas de plan, j'utilise donc le GPS de mon telephone, un peu galère mais surtout risqué car ça attire l'oeil...
Première difficulté: je ne comprends rien au réseau de bus. Je suis pourtant obligé de le prendre car je suis logé loin du centre visiblement...Un mélange incompréhensible de lettres, de chiffres, de lignes directes, indirectes, lignes spéciales, etc... Bref je passe bien 20 minutes, complètement hagard, dans dans un premier arrêt de bus qui en fait se décompose en une vingtaine d'arrêt. Je reprends mes esprits et me décide à demander à quelqu'un (dans un espagnol plus qu'approximatif !) comment faire pour aller à la Plaza de Bolivar. Cette charmante colombienne me répond quelque chose dans un espagnol parfait evidemment mais parlé trop vite pour que je puisse comprendre ! Voyant bien que je ne comprenais pas grand chose, elle me propose de la suivre dans un bus. Quelques arrêts plus tard elle me dit de descendre tandis qu'elle reste dans le bus. Je la remercie pour son aide. Quand je sors du méga arrêt de bus (qui en fait en compte 20 aussi), je sors mon télephone pour me repérer et je m'aperçois que je suis encore assez loin de cette fameuse place. Bogota est très très grand. Je décide de finir à pied et commence à m'imprégner de l'atmosphère de cette ville. De grands immeubles, des montagnes andines en arrière plan, des petites rues très animées. J'atteins la Plaza de Bolivar, puis me dirige dans les rues adjacentes pour y trouver de quoi manger. Je m'arrête finalement dans un petit resto local ou je commande "un arroz con pollo", une sorte de riz sauté avec poulet petis poids, haricots, maîs et un peu de frites. Pas mauvais et très copieux, je n'ai même pas fini. Le tout accompagné d'une bière (claro que si!), la Club de Colombia.
il est 19h. Etant repu et la nuit étant tombée, je me décide à rentrer. Même galère pour le trajet en bus...J'arrive vers 20h à l'appart où j'y rencontre, non pas mon hôte Jaime, mais Stefano, un italien de 44 ans qui travaille pour l'ONU. Il parle bien français. On parle un peu puis il va se coucher car il bosse demain. Moi je finis d'écrire cet article et je vais enfin me coucher, n'arrivant plus à ouvrir les yeux. Les photos, je les mettrai en ligne plus tard
Je n'ai pas de plan, j'utilise donc le GPS de mon telephone, un peu galère mais surtout risqué car ça attire l'oeil...
Première difficulté: je ne comprends rien au réseau de bus. Je suis pourtant obligé de le prendre car je suis logé loin du centre visiblement...Un mélange incompréhensible de lettres, de chiffres, de lignes directes, indirectes, lignes spéciales, etc... Bref je passe bien 20 minutes, complètement hagard, dans dans un premier arrêt de bus qui en fait se décompose en une vingtaine d'arrêt. Je reprends mes esprits et me décide à demander à quelqu'un (dans un espagnol plus qu'approximatif !) comment faire pour aller à la Plaza de Bolivar. Cette charmante colombienne me répond quelque chose dans un espagnol parfait evidemment mais parlé trop vite pour que je puisse comprendre ! Voyant bien que je ne comprenais pas grand chose, elle me propose de la suivre dans un bus. Quelques arrêts plus tard elle me dit de descendre tandis qu'elle reste dans le bus. Je la remercie pour son aide. Quand je sors du méga arrêt de bus (qui en fait en compte 20 aussi), je sors mon télephone pour me repérer et je m'aperçois que je suis encore assez loin de cette fameuse place. Bogota est très très grand. Je décide de finir à pied et commence à m'imprégner de l'atmosphère de cette ville. De grands immeubles, des montagnes andines en arrière plan, des petites rues très animées. J'atteins la Plaza de Bolivar, puis me dirige dans les rues adjacentes pour y trouver de quoi manger. Je m'arrête finalement dans un petit resto local ou je commande "un arroz con pollo", une sorte de riz sauté avec poulet petis poids, haricots, maîs et un peu de frites. Pas mauvais et très copieux, je n'ai même pas fini. Le tout accompagné d'une bière (claro que si!), la Club de Colombia.
il est 19h. Etant repu et la nuit étant tombée, je me décide à rentrer. Même galère pour le trajet en bus...J'arrive vers 20h à l'appart où j'y rencontre, non pas mon hôte Jaime, mais Stefano, un italien de 44 ans qui travaille pour l'ONU. Il parle bien français. On parle un peu puis il va se coucher car il bosse demain. Moi je finis d'écrire cet article et je vais enfin me coucher, n'arrivant plus à ouvrir les yeux. Les photos, je les mettrai en ligne plus tard